« Refuser la banalisation de la violence comme répertoire d’action politique ou syndicale, ce n’est pas réac »
Après la violation des locaux de la CFDT, la responsable syndicale Catherine Nave-Bekhti analyse, dans une tribune au « Monde », la portée symbolique de cet acte et rappelle que démocratie sociale et violence ne font pas bon ménage.
Le 17 janvier 2020, une nouvelle fois, les locaux de la confédération CFDT ont été l’objet de violences. Ecrire cette phrase, à froid, prendre la mesure de chacun des mots, réaliser que si la façade n’est pas défigurée comme ce fut le cas nuitamment par le passé, l’action a visé directement des personnes. J’écris d’abord « des personnes » car il y a une gradation dans la violence.
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